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Le
temps de téléchargement devient également un facteur déterminant
pour le passage au très haut débit.
En effet, les fichiers/applications que l’usager est amené à
télécharger deviennent de plus en plus volumineux. Sans une
bande passante adéquate, ce temps d'attente devient
inacceptable. La figure
ci-dessous représente pour différents fichiers/applications,
le temps de téléchargement nécessaire en fonction du débit
offert à l’utilisateur.
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De
plus, avec la pénétration de l'Internet dans les foyers,
l'explosion de la photo et de la vidéo numérique ainsi que des
logiciels à vocation audiovisuelle, les consommateurs
deviennent créateurs de contenus. Pour partager ses contenus,
le consommateur a besoin de charger des fichiers volumineux sur
des serveurs accessibles à son entourage. On parle alors de
upload. Les besoins en très haut débit deviennent par
conséquent symétriques (voie montante et descendante).
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A
l’heure
du triple-play (voix, vidéo et accès Internet) et de la TVHD,
les débits offerts par l’ADSL deviennent insuffisants, d’où
une migration entamée vers l’ère du Très Haut Débit.
Actuellement, il est impossible d’obtenir de très haut débits
sur la paire torsadée classique, à moins d’utiliser la
technologie VDSL et d’être situé très près (moins de 300
m) du
DSLAM (équipement de raccordement localisé chez l’opérateur).
La fibre optique apparaît donc comme
le média idéal permettant le transport de données à très
haut débit.
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